Exécutés dans des matériaux pauvres, en l’occurrence du carton ondulé et déchiqueté, Anne Delfieu les assemble dans le cas des Écorces, en faisceaux que l’on peut interpréter comme des fagots ou des champs de blé courbés par le vent. Le travail a quelque chose d’aérien, d’apparemment fragile. Mais l’artiste encolle, durcit ses reliefs. Au toucher, on a la sensation de bois travaillé.
Exécutés dans des matériaux pauvres, en l’occurrence du carton ondulé et déchiqueté, Anne Delfieu les assemble dans le cas des Écorces, en faisceaux que l’on peut interpréter comme des fagots ou des champs de blé courbés par le vent. Le travail a quelque chose d’aérien, d’apparemment fragile. Mais l’artiste encolle, durcit ses reliefs. Au toucher, on a la sensation de bois travaillé.